Traducción de la letra Bienvenue 1984 de Cano

Idioma Origen:

Souvent je me demande
Ce qui nous attend
Ce que demain réserve pour toi et moi
Vivrons-nous aussi longtemps
Et aussi bien
Ou est-ce notre tour à crever de faim

J'ai rêvé, j'ai rêvé que mon bailleur m'a expulsé
Je ne pouvais plus payer pour louer
Sa maison était toute démantibulée
J'ai brûlé les portes pour me chauffer

Parfois je nous vois
Sur nos trottoirs en ciment
Couchés sans abri du vent
Orwell, Orwell
Orwell va peut-être renaître et vivre encore
Bienvenue, bienvenue 1984
Bienvenue, bienvenue 1984

La crise de quatre-vingt est arrivée
Le USA a tombé
Les chinois viennent chercher
Tout ce qu'on fait pousser
Les Indous veulent nous manger

Les grévistes font la grève
Contre la grève
Les employeurs sont employés
L'assurance a flanché l'année passée
Les chômeurs sont tous morts avant-hier

Les américains et les anciens romains
Sont cousins germains de loin
On va décader comme deux mille ans passés

Bienvenue, bienvenue
Un bon matin faudrait bien partir d'ici
Vers un endroit mois enrichi
On pourrait se pratiquer à quêter
À crever

Mais qui suis-je pour prophétiser
Rien de cela va arriver
Faudrait apprendre à se caresser et s'embrasser
C'est la seule chose qui peut rester
Idioma Destino:

Souvent je me demande
Ce qui nous attend
Ce que demain réserve pour toi et moi
Vivrons-nous aussi longtemps
Et aussi bien
Ou est-ce notre tour à crever de faim

J'ai rêvé, j'ai rêvé que mon bailleur m'a expulsé
Je ne pouvais plus payer pour louer
Sa maison était toute démantibulée
J'ai brûlé les portes pour me chauffer

Parfois je nous vois
Sur nos trottoirs en ciment
Couchés sans abri du vent
Orwell, Orwell
Orwell va peut-être renaître et vivre encore
Bienvenue, bienvenue 1984
Bienvenue, bienvenue 1984

La crise de quatre-vingt est arrivée
Le USA a tombé
Les chinois viennent chercher
Tout ce qu'on fait pousser
Les Indous veulent nous manger

Les grévistes font la grève
Contre la grève
Les employeurs sont employés
L'assurance a flanché l'année passée
Les chômeurs sont tous morts avant-hier

Les américains et les anciens romains
Sont cousins germains de loin
On va décader comme deux mille ans passés

Bienvenue, bienvenue
Un bon matin faudrait bien partir d'ici
Vers un endroit mois enrichi
On pourrait se pratiquer à quêter
À crever

Mais qui suis-je pour prophétiser
Rien de cela va arriver
Faudrait apprendre à se caresser et s'embrasser
C'est la seule chose qui peut rester