Traducción de la letra Lui ou toi de Alizée

Idioma Origen:

Où est « IL »
Quand il m'abandonne
Toute ma vie
Est loin

Où est « LUI »
J'aime sa voix d'homme
Sans lui « IL » n'est rien

« LUI » est plus vieux
Je porte son pull marine
L'eau de ses yeux
Est bleue, d'un bleue des mers de chine

« IL » est mysterieux
Dans sa stratosphère
Entre les deux, je voulais
Les deux

J'ai dans le coeur comme un poids
Dans la gorge comme une épine
De n'avoir fait le choix
« LUI » ou « TOI »
Les fenêtres sont en bois
Et ce plus assassines
Qui coulent au fond de moi
« LUI » ou « TOI »

Où est « IL » ?
Quand il n'y a personne
Toute la ville s'éteint

« TOI » et « LUI »
Mes deux moitiés d'homme
Sans eux je n'
Suis rien

« LUI » est si fort
Je ris quand il s'ennuie
Quand il a tort
Là, je l'aime encore, il dit:

Qu' « IL », est amoureux
Comme l'eau aime la vague
Moi, sans les deux, j'ai du vague
A l'âme

J'ai dans le coeur comme un poids
Des larmes d'encre de Chine
Qui me montrent du doigt
« LUI » ou « TOI »
Retrouver au fond de moi
Des rondes enfantines
Mais les chevaux de bois
Sont froids...
Idioma Destino:

Où est « IL »
Quand il m'abandonne
Toute ma vie
Est loin

Où est « LUI »
J'aime sa voix d'homme
Sans lui « IL » n'est rien

« LUI » est plus vieux
Je porte son pull marine
L'eau de ses yeux
Est bleue, d'un bleue des mers de chine

« IL » est mysterieux
Dans sa stratosphère
Entre les deux, je voulais
Les deux

J'ai dans le coeur comme un poids
Dans la gorge comme une épine
De n'avoir fait le choix
« LUI » ou « TOI »
Les fenêtres sont en bois
Et ce plus assassines
Qui coulent au fond de moi
« LUI » ou « TOI »

Où est « IL » ?
Quand il n'y a personne
Toute la ville s'éteint

« TOI » et « LUI »
Mes deux moitiés d'homme
Sans eux je n'
Suis rien

« LUI » est si fort
Je ris quand il s'ennuie
Quand il a tort
Là, je l'aime encore, il dit:

Qu' « IL », est amoureux
Comme l'eau aime la vague
Moi, sans les deux, j'ai du vague
A l'âme

J'ai dans le coeur comme un poids
Des larmes d'encre de Chine
Qui me montrent du doigt
« LUI » ou « TOI »
Retrouver au fond de moi
Des rondes enfantines
Mais les chevaux de bois
Sont froids...