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Letra actual de la canción
On était assis à la terrasse d'un café, relax<br />Deux verres de Perrier sur la table en train de déguster une glace<br />Neuf heures du soir la place était presque pleine <br />Mais pas assez pour ne pas voir arriver le phénomène<br />Méditerranéenne, mixée comme chez nous<br />Basses, aigus à fond, "Wooou" elle envoyait le ganzou<br />Elle est venue s'asseoir à côté de nous<br />Une clope cousine? Quoi, t'as ton mec, nous on est pas jaloux<br />Deux mètres, cent dix kilos, il s'est pointé<br />Illico aussi sec on est retournés à nos Perriers<br />Je suis pas fou, le type était balaise<br />Pas question de s'embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13<br />Mais la gadji reluquait, regard aguicheur<br />Elle essayait quand même de me faire du pied<br />Une vodka, la commande est passée<br />Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet <br />"Rendez-vous à dix heures à votre appart', dites moi où c'est<br />Une copine va m'accompagner"<br />Elle se leva, la main crispée sur le papier un clin d'oeil discret<br />La soirée était bien commencée, ouais<br /><br />Dans toutes les situations, sans inhibition<br />Elle donne son corps avant son nom<br /><br />Je préparais la pièce et les armures de latex<br />Les sticks de "popo", le stand de tir sur le Bultex<br />Et moi à peine arrivé en bas, elles étaient déjà là<br />La pure motivation, mon gars<br />Dans l'ascenseur il ne faisait pas chaud<br />Mais une autre chaleur leur fit déjà sauter les tricots<br />Elles arrivèrent dans la maison en Wonderbras<br />Vision irréelle, fracture nette de l'oeil droit<br />On leur prposa de boire ou de manger un truc<br />Un cappuccino, deux sucres roux, elles aimaient le luxe<br />Je leur ai dit : "Excusez-moi, prenez le bien certes<br />Vous êtes raffinées mais vous avez l'air de deux filles ouvertes"<br />Dix secondes après c'était la cavalcade<br />Et comme Jackie Chan, on faisait nous-mêmes nos cascades<br />Au matin, ce ne sont que des draps que j'ai sentis<br />Les cacadeuses étaient parties<br />En m'habillant, je palpais mes poches : vides<br />Plus de chèques, plus de cartes, plus de liquide<br />Le plan était simple et sans accroc<br />Si on rattrappe les gazières, on les éclate à coup de marteau<br />On a foncé au centre ville, on a aperçu les filles<br />Pénétrer dans un bar américain<br />Devant la porte, y'avait le type du bar, la baraque<br />On a compris, mais trop tard, que ce mec était leur mac<br />J'ai dû trouver un exutoire pour passer mes nerfs<br />Et un skin a morflé des coups de Black et Decker<br /><br />Traitez les filles avec respect mais attention <br />Prenez garde à celles qui ne donnent pas leur nom<br /><br />Dans toutes les situations, sans inhibition<br />Elle donne son corps avant son nom
Letra nueva de la canción
On était assis à la terrasse d'un café, relax<br />Deux verres de Perrier sur la table en train de déguster une glace<br />Neuf heures du soir la place était presque pleine <br />Mais pas assez pour ne pas voir arriver le phénomène<br />Méditerranéenne, mixée comme chez nous<br />Basses, aigus à fond, "Wooou" elle envoyait le ganzou<br />Elle est venue s'asseoir à côté de nous<br />Une clope cousine? Quoi, t'as ton mec, nous on est pas jaloux<br />Deux mètres, cent dix kilos, il s'est pointé<br />Illico aussi sec on est retournés à nos Perriers<br />Je suis pas fou, le type était balaise<br />Pas question de s'embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13<br />Mais la gadji reluquait, regard aguicheur<br />Elle essayait quand même de me faire du pied<br />Une vodka, la commande est passée<br />Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet <br />"Rendez-vous à dix heures à votre appart', dites moi où c'est<br />Une copine va m'accompagner"<br />Elle se leva, la main crispée sur le papier un clin d'oeil discret<br />La soirée était bien commencée, ouais<br /><br />Dans toutes les situations, sans inhibition<br />Elle donne son corps avant son nom<br /><br />Je préparais la pièce et les armures de latex<br />Les sticks de "popo", le stand de tir sur le Bultex<br />Et moi à peine arrivé en bas, elles étaient déjà là<br />La pure motivation, mon gars<br />Dans l'ascenseur il ne faisait pas chaud<br />Mais une autre chaleur leur fit déjà sauter les tricots<br />Elles arrivèrent dans la maison en Wonderbras<br />Vision irréelle, fracture nette de l'oeil droit<br />On leur prposa de boire ou de manger un truc<br />Un cappuccino, deux sucres roux, elles aimaient le luxe<br />Je leur ai dit : "Excusez-moi, prenez le bien certes<br />Vous êtes raffinées mais vous avez l'air de deux filles ouvertes"<br />Dix secondes après c'était la cavalcade<br />Et comme Jackie Chan, on faisait nous-mêmes nos cascades<br />Au matin, ce ne sont que des draps que j'ai sentis<br />Les cacadeuses étaient parties<br />En m'habillant, je palpais mes poches : vides<br />Plus de chèques, plus de cartes, plus de liquide<br />Le plan était simple et sans accroc<br />Si on rattrappe les gazières, on les éclate à coup de marteau<br />On a foncé au centre ville, on a aperçu les filles<br />Pénétrer dans un bar américain<br />Devant la porte, y'avait le type du bar, la baraque<br />On a compris, mais trop tard, que ce mec était leur mac<br />J'ai dû trouver un exutoire pour passer mes nerfs<br />Et un skin a morflé des coups de Black et Decker<br /><br />Traitez les filles avec respect mais attention <br />Prenez garde à celles qui ne donnent pas leur nom<br /><br />Dans toutes les situations, sans inhibition<br />Elle donne son corps avant son nom
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